Depuis son élection, à la présidence de Routes de Guadeloupe le 29 janvier 2016, Ary Chalus a constaté un certain nombre de dysfonctionnements et de points de blocage, tels que la révision du Régime Indemnitaire (RI) ou encore la Nouvelle Bonification Indiciaire (NBI). Afin d’accompagner le développement du syndicat mixte, Ary Chalus entretient un lien privilégié avec ses agents et a initié un dialogue social avec les organisations syndicales. Cette détermination à tisser et maintenir le lien entre les hommes s’est illustrée concrètement, notamment par : – Des améliorations significatives dans l’organisation de Routes de Guadeloupe, pour une meilleure protection des agents et un fonctionnement plus fluide de la structure : la création de deux directions générales adjointes, d’une direction des ressources humaines, d’un service communication. Et le recrutement d’un agent en charge du contrôle des conditions d’hygiène et de sécurité et d’un ACFI (Agent chargé d’assurer la fonction d’inspection) qui contrôle les conditions d’application de la réglementation en matière de santé et de sécurité au travail. – Un soutien sans faille et une écoute active portés aux personnels de Routes de Guadeloupe ainsi qu’à leurs familles lors de moments douloureux, par le biais d’entretiens multiples et de l’activation des œuvres sociales. – Hors du cadre des instances représentatives du personnel obligatoires (CT, CAP, CHSCT), Ary Chalus a rencontré chaque syndicat (CGTG, UTC/UGTG, UNSA) à plus de trois reprises, avec des ordres du jour établis par les délégations. – L’organisation de séminaire en Région avec l’ensemble des cadres de Routes de Guadeloupe. – Un accord en cours de finalisation pour la revalorisation du régime indemnitaire, demandé depuis 2014. Sous sa présidence, Ary Chalus a également engagé un processus d’intégration d’emplois précaires en procédant à la titularisation de 26 agents au mois de mai 2017. Cette démarche s’est renforcée par l’intégration des lauréats au concours de technicien et d’ingénieur territorial. Ary Chalus, dont le mandat à la présidence de Routes de Guadeloupe arrive à son terme, regrette que les blocages traités n’aient pas été pris en charge, « dans l’apaisement », par les exécutifs précédents. Aussi est-il convaincu que le dialogue social qu’il a fortement engagé doit s’inscrire dans une gouvernance institutionnelle de cet établissement. Il rappelle que ces blocages relèvent de questions constitutives à la création de la structure en 2007, et que les questions soulevées, notamment liées au RI et à la NBI Zones Urbaines Sensibles procèdent de l’application des protocoles d’accord signés en 2015 par le précédent exécutif, et de la mise en œuvre opérationnelle de la règlementation de juillet 2006.
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